samedi 24 octobre 2009

MANCHESTER est LA capitale mondiale du rock! (1/20)

Ce désespérant samedi pluvieux d'automne est le jour idéal pour finir la série consacrée à Manchester. Nous nous quittons donc avec une vidéo exceptionnelle qui s'ouvre sur les salves verbales du barde de Salford, John Cooper Clarke (qu'on ne vienne pas nous bassiner avec le slam!). On retrouve ensuite Joy Division qui y joue Transmission. Feu Ian Curtis le chanteur se pendra dans sa cuisine à 23 ans la veille de partir en tournée aux Etats-Unis. Barney, Peter et Steven créeront ensuite New Order l'un des groupes les plus populaires des années 80, toujours détenteur du record du maxi 45 tours le plus vendu au monde: Blue Monday. C'est produit par feu Martin Hannett, le plus grand producteur de rock des années 80. Manager: feu Robb Gretton et le designer est Peter Saville qui est l'un des plus côté au monde aujourd'hui. C'est une émission de télévision qui doit dater de 1979 et présenté par feu Tony Wilson, disparu il y a 2 étés, le grand gourou de la scène musicale mancunienne, fondateur du label Factory et du night club le plus cèlèbre d'Europe: la Hacienda. Il est l'homme qui a féderé tous ces talents exceptionnels. Pour moi Factory ne signifiera jamais New York ni Andy Warhol mais Tony Wilson et Manchester!
Dans la soixantaine de chansons enregistrés par Joy division entre 1976 et 1980 (2 albums et des singles à gogo) j'ai eu beau chercher un raté, une faille mais je n'ai rien trouvé, c'est bien le meilleur groupe du monde.
JOY DIVISION

3 commentaires:

earthintruder a dit…

C'est épidermique,j'en remplirais la ville de frissons...
Merci pour cette belle aventure à Manchester, il faudra quand même faire un tout la haut un de ces jours, pourquoi toujours s'arrêter à Londres?

olmer a dit…

la hacienda est fermé depuis 10 ans, je vois pas ce qu'il y a à faire à manchester aujourd'hui...

earthintruder a dit…

Aller voir un match de foot en cherchant des actions du club à moins de 200 livres peut-être.
Histoire de se saouler faute d'en avoir trouver.
En attendant je retourne à Londres, je sais pas vraiment quoi y faire non plus, ah si voir des vieux tableaux.